Plus belle fille.

My dear and beloved Foals.

Si tu n'aimes pas ma vie, ne lis pas ça.

Vocabulaire préfacial

Foals _ backstage _ briquet _ staff _ parking _ Kennedy _ lunettes _ Victor _ YANIS _ loges pop _ rotten soup _ cigarettes _ 18 ans _ dating _ e-mail _ champagne _ peinture fraîche _ emo pine-cos _ Ta Mère à H&M _ 19h -> 2h _ Whiskey _ chocoballs _ froid _ you know? _ escaliers _ CQFD _ toilettes _ E.=voleuse de toilette _ stickers _Clarisse, française londonienne (y'a vraiment des chanceuses ici;D)_ connard _ vieux bourré _ lovely _ danse on stage _ lunettes rouges _ balle de tennis _ Sacem _ Oxford _ Flageolet _ alcohol

Ouah. Nos sentiments sont sehr sehr mitigés entre hystérie totale, guiboles en mode guimauve, excitement incessant, enfin un état digne d'un hopitâl psychiatrique surchargée en période vacancières.

Commencement par le commençons, nous arrivons, des nouilles blognaise plein l'estomac à la dite-Cartonneire vers 19h (soit une heure avant l'ouverture des lourdes). Réactions mitigées sur la désertitude des lieux. Petit tour (échauffement) dans le paddock à autos ("parking") et vision lointaine du lieu de résidence de nos amis (soit le bus).

Nous entrons (E. et moi-même, compagnonnnes de concerts radines qui n'excèdent pas les 100fr) et découvrons un petit harem d'emo-lesb qui se foutent gentillement de nos poires (qui sommes bien sur beaucoup plus stylées bque ces pébronnes). Nous quittons les dites-emo-pine-cos et nous dirigeons vers la salle (minuscule).

Chose fortement drôle il ya 15 sonne-per, nous inclues (la foule viendra par la suite). Nous nous dirigeâmes par la suite devant la scène et y plantons nos tentes. Je reste frustrée par la vison d'une balle de tennis (le rapport pédale/balle de tennis?).

Intéressant :

C'est les Housses de Racket qui commencent à nous faire danser. Oui ma personne est accompagnée d'une bande de joyeux lurons dans ses danses frénétiques (bandeau de tennis inclu dans la fête). 1,2,3,4 / Oh Yeah! / Housse de Racket... nous découvrons un groupe des plus géniaux. BA de la journée : je donne la Set-List à une des dites joyeuses danseuses. Housse de Racket sont jeunes, frais et adorent l'intro de Star Wars.

Au tour de Kennedy, homme des plus fous-jamais-croisé-sur-terre-et-environs. Chez Kennedy, la vie est belle et tout le monde danse. Tout le monde sauf quand je suis saisi par l'umérus afin de rejoindre le dit-défunt président sur scène. Soi ma personne embrigadée et qui se tord de large en long bientot rejointe par la bande de joyeux enfants (je vous ferais un topo rapide sur ces dits-joyeux lurons).

Entrée de nos Operator Please, avec une violoniste qui parle la langue du fromage-vin rouge-béret avec un accent des plus chou. Je pense avoir perdu toute notion de parole après m'être époumonée sur Ping Pong. Bien sur révison de leurs grands classiques, Get What You Want, Leave It Alone, Zero Zero... Set-list (*) qui se retrouvera par le plus grand de bonheurs dans nos mimines moites.

J'en viens au Foals, quelques problèmes technique mais un groupe en forme démentielle. Yanis qui s'amuse avec sa guitare au milieu de la foule à ses risques et périls (sans compter l'homme des plus étranges qui se trouvait derrière nos cadavres). En vient l'ami claveriste qui se sentant tellement à l'aise finit par retirer ses pantoufles. Le oui. Selon ich, meilleur groupe de la soirée.

Cassius pour commencer, puis un enchaînement trop rapide pour penser, un groupe des plus parfaits... Yannis finira par reléguer sa guitare pour se saisir d'un drum et se mettre à taper dessus à en faire trembler les murs. Une minette emo a faillse faire défoncer par une baguette du dit-tambour, dommage.

Toujours aussi intéressant

Concert (d'un point de vue strictement musical) terminé. Grande conversation avec Kennedy, sur les garçons, le champagne, les bus de voyage... L'homme se révèle particulièrement taré mais d'autant plus chou.

L'homme nous dégote deux places BACKSTAGE mais son sehr sehr ennuyant roadie lui susurre "you need it for tomorrow, guy" avec un accent français des plus.... Nous fûmes emportées par un flot de désespoir. le oui.

Frère Jack, batteur, grenouille à ses heures perdues, sex-appeal déchirant (surtout avec sa capuche verte et sa bouteille pourrie). On t'aime Jack, toi et aussi tes marguerites. (Xcusez la qualité, portable 1e génération oblige)

Après parlation avec Yannis & autres (qui dessine superbement bien les marguerites), nous sommes virées de la dite-salle de concert.Il ne reste que 2 pébronnes dehors, les autres spectateurs ayant réjoint leurs pieux, nous laissant seules dans le froid. Superbe concert terminé (enfin pas tant que ça). Le père de E., gentillement venu nous rechercher dans les 12H30 est malheurement saisi par la police, le dit-homme ne possédant pas les papiers de son auto. Soit retard annoncé par le père de famille. Nos visages s'illuminent version Vierge Marie overdosée lorsque St Yannis nous propose de le rejoindre mit friends. Le très fantastique.

Merci à Kennedy qui nous a guidé (nous fûmes fortement appeuré lorsque l'homme me demanda à quel âge pouvions-nous avoir un rendez-vous avec sa personne). Ah oui, le dit-uomo m'a filé son addresse mail.

Soit en invitées les très spéciales, nous rejoingnons les Saints Foals dans leur loges rouges et blanches (en faisant un détour en dansant par chez Housse de Raquette avec lunnette rouge sur le pif). Ils se révèlent être particulièrement amicaux et heureux de nous accueillir dans leur bicoque (en nous proposant maints et maints whiskey, rhum et surtout leur le très onctueux souope à base de cigarettes, fromages et jus d'orange pourri qui selon St Yannis pue moins que sa propre chemise ?!). Yannis au comble de sa gentillesse sort même des Choco-bons de son frigo (je ne sais pas pourquoi le dit-quidam range son chocolat à -25°C). Kennedy n'est plus très frais et nous frappe avec ses CDs (et E. les pieds)

Nous apprenons que Yannis garde un très mauvais souvenir de la France (malgré un français des plus excellent), avec une dite-Pauline Flageolet correspondant qui habitait dans la basse cambrousse, le pauvre Yannis était à des lieux de la ville, loin de ses amis, avec une penfriend peu sympathique (soit fou-rire à tous les étages avec le poulain).

Nous quittons les Poulains une heure plus tard, et je me charge d'aller lever Yannis alors endormi sur la scène. "Hello". Je suis particulièrement triste de trisser ses adorables mini-bourrins...

Ta Mère à H&M, spéciale dédicasse à vous tous, je suis dispo pour jouer des maracas sur votre prochain album, et je tiens à vous assurer que la dite-gallette sera au top des charts de la Papouasie Nouvelle-Guinée promis.

DENVER EST HEUREUX. (euphémique malgré tout)